Avoir confiance en soi et en ses capacités

Avoir confiance en soi et en ses capacités

Un état d’esprit qui se cultive

« La seule chose qu’on est sûr de ne pas réussir est celle qu’on ne tente pas. »

Paul-Emile Victor, explorateur polaire

Et si vous commenciez par une nouvelle vision de vous-même ? Ou une nouvelle manière de vous aimer ?
Ou encore une nouvelle confiance en vous et en vos capacités ?

Je vais vous parler aujourd’hui de confiance en soi.

Vaste sujet ! Ce manque de confiance est présent dans quasi tous mes accompagnements. Posons les bases.

La confiance en soi est un des 3 piliers de l’estime de soi

Si vous ne deviez lire qu’un livre sur l’estime de soi ce serait celui de Christophe André et François Lelord :
L’estime de soi, s’aimer pour mieux vivre avec les autres

L’estime de soi, s’aimer pour mieux vivre avec les autres

Estime de soi = amour de soi + vision de soi + confiance en soi

Estime de soi

L’estime de soi, c’est ce que l’on pense de soi, c’est une évaluation et un jugement critique de soi par nous-même.

L’amour de soi : c’est se respecter quoi qu’il advienne, écouter ses besoins et ses aspirations, être fidèle à soi. Ce sont nos ressources internes.

La vision de soi : c’est croire en ses capacités, ses qualités et défauts, c’est se projeter dans l’avenir.

La confiance en soi : c’est agir sans crainte excessive de l’échec et du jugement d’autrui.

Cest une croyance en soi, en son potentiel, en ses capacités, en ses buts et ses objectifs.

En gros, on prédit ce qui va se passer en s’évaluant sur sa capacité à disposer ou non des ressources nécessaires pour atteindre un objectif ou pour faire face à tel ou tel événement.
Si cette évaluation est positive, il en découlera un sentiment de sécurité.

La confiance en soi est donc la reconnaissance de ses propres compétences : elle représente combien je me considère capable.

Elle est donc liée à nos actes puisqu’elle se construit sur nos réussites et sur nos échecs.

Si nous avons confiance en nous, c’est parce que nous savons faire telle chose sans peur excessive d’échouer et sans craindre le regard des autres.

Le moteur de la confiance en soi, c’est l’action.

Pour illustrer tout ça, voici une petite métaphore

L’écho
Un père et son fils se promenaient en montagne.
Soudain, le fils tombe, se fait mal et crie : « AAAhhhhhhhhhhh ! »
A sa grande surprise, il entend une voix qui répète, dans la montagne : « AAAhhhhhhhhhhh ! »
Curieux, il demande : « Qui es-tu ? »
Il reçoit pour toute réponse : « Qui es-tu ? »
Agacé par cette réponse, il crie : « Peureux ! »
Et entend : « Peureux ! »
Alors il regarde son père et demande : « Qu’est-ce qui se passe, papa ? »
Le père sourit et répond : « Mon fils, écoute bien, maintenant. »
Et il crie vers la montagne : « Je t’admire ! »
La voix répond : « Je t’admire ! »
Il crie encore : « Tu es un champion ! »
La voix répond : « Tu es un champion ! »
Le garçon est surpris mais ne comprend toujours pas.
Alors le père explique :
« Les gens le nomment ECHO, mais c’est en fait la VIE.
Cela te renvoie tout ce que tu dis ou fais.
Notre vie est simplement le reflet de nos actions.
Si tu veux plus d’amour dans le monde, commence par en avoir plus dans ton cœur.
Si tu veux que ton équipe soit plus performante, commence par être plus performant.
Cela marche pour tout, dans notre vie ;
La vie te rendra tout ce que tu lui donneras. »

Votre vie n’est pas une coïncidence, elle est le reflet de ce que vous pensez et faites.

—————————————————————————————-

Voici un petit test pour évaluer votre confiance en vous

Répondez par OUI ou NON

Je ne suis pas inquiet.ète à l’idée de prendre la parole en public.
Je sais ce que je vaux.
Quand je suis dans une situation délicate, je sais que je peux compter sur mes ressources.
Vivre une situation inconnue pour moi ne me fait pas peur.
Je crois en moi.
Je sais tirer enseignement de mes erreurs.
Je me sens capable dans ce que j’entreprends.
J’aime me lancer des défis.
Je sais que je peux réussir.
Je ne crains pas l’échec.
Je prends facilement des décisions.
L’erreur est source d’apprentissage.
Je sais gérer mon stress pour agir efficacement.
Je me fixe des objectifs dans la vie.
Je suis peu sensible au jugement d’autrui.

Quelques tips pour augmenter votre confiance en vous

Vous sentir en sécurité
Décrivez des situations dans lesquelles vous ne vous êtes pas senti.e en sécurité. Qu’est-ce qui vous a manqué, de quoi auriez-vous eu besoin pour vous sentir plus en confiance ?

Reconnaître vos compétences
Repérez et reconnaissez les belles choses que vous savez faire et dont vous pouvez être fier.ère.

Challenges et défis à relever pour sortir de votre zone de confort
Qu’êtes-vous prêt.e à réaliser comme action inhabituelle, êtes-vous prêt.e à briser la routine ?

Avoir confiance en vous, c’est avoir confiance en l’avenir
Quels son vos nouveaux projets pour 2022 ? Et pour les 5 ans à venir ?

Toobee, votre coach zen, positif et de pleine conscience sur votre téléphone.
Un appli 100% gratuite qui vous permet en moins d’une minute par jour de vous sentir mieux avec des affirmations positives. Je l’ai et j’adore ! En plus son graphisme est chouette 🙂

La Roue de la conscience
C’est un des outils de référence pour moi en coaching.

Cette roue permet de voir si vos 3 centres vitaux sont équilibrés ou non.

Roue de la conscience Roue de la conscience

Alors ? Ils sont comment vos centres vitaux ?

💫 Cela vous a donné envie d’aller plus loin dans votre quête de votre confiance en vous ?
Vous aimeriez vous faire accompagner pour ne pas être seul.e dans ce cheminement, contactez-moi !

Et rappelez-vous, vous êtes unique !

Déconnectez et lâchez-prise

Déconnectez et lâchez-prise

Vous ne vous sentez pas efficace au boulot ? Vous n’arrivez jamais à vraiment déconnecter ?

Votre smartphone n’est jamais loin de vous. Vous ne pouvez pas vous empêcher de regarder vos mails, ou vos notifications Instagram, Facebook, Linkedin… lorsque vous êtes sur quelque chose ou en dehors de vos horaires de travail. Votre premier geste le matin : regarder votre smartphone.

Vous avez l’impression d’être partout, tout le temps mais de ne jamais prendre le temps de vous poser. Vous vous sentez épuisé.e, votre mental est fatigué…

Ce qui va suivre va sûrement vous aider 🙂

Voici des tips que je m’applique à moi-même lorsque je suis en période de rush (et même tout le temps !), et que je propose à mes coaché.e.s lorsqu’ils sont en surcharge mentale.

Le maître mot : lâcher-prise

Lâcher-prise, ça consiste à sortir de vos préoccupations mentales pour vivre l’instant présent.
Lâcher-prise, ça vous permet de vous débarrasser du superflu et de prendre du recul pour vous centrer sur l’essentiel.

1- Priorisez

Avant de vous mettre dans le tourbillon de votre journée, prenez le temps le matin de vous poser et de vous demander :

« Quelle est ma priorité aujourd’hui ? »

« Qu’est-ce qui est le plus important ? »

Dans une journée, ne vous mettez pas plus de 3 choses importantes.

Désactivez vos notifications, mettez votre smartphone en mode « ne pas déranger » pour éviter de vous retrouver à lire vos mails ou messages à chaque fois que vous recevez une alerte.

Consultez internet, vos mails et notifs qu’une à 2 fois par jour, dans des moments dédiés.

Vous serez ainsi beaucoup plus efficace pour traiter vos priorités de la journée car vous ne serez pas sans cesse interrompu. 

Le cerveau se fatigue si vous passez tout le temps d’une tâche à l’autre, et cela lui demande un effort supplémentaire de se remettre dans sa tâche.

Lorsque vous rentrez chez vous le soir, soyez présent pour vos proches, évitez de regarder vos mails pro.

Si vous travaillez de chez vous, il est important de vous fixer des horaires de travail, et de les respecter.

En ayant des plages horaires bien définis, vous serez plus efficace car vous aurez en tête qu’à telle heure, vous ne pourrez plus travailler.

2- Revenez au corps

Demandez-vous, à chaque instant de votre vie, ce que vous souhaitez vraiment en faire.

Pratiquez la pleine présence en étant attentif à vos sens et vos ressentis physiques.

Recentrez-vous sur l’essentiel : votre souffle et votre corps.

Vous pouvez pratiquer une activité qui va vous reconnecter à votre corps, par exemple :

  • la marche, la randonnée, la piscine
  • la méditation avec l’appli Petit Bambou
  • la sophrologie avec Aurélia de @laptite.naturo.and.co 🙂
  • le Yoga, Qoya ou Reiki avec Layla de @moonwarrioress 😉
  • N’oubliez pas de vous offrir de temps en temps une petite pause bien-être comme un soin ou massage énergétique…

Votre objectif : sortir de votre mental et revenir à votre corps, écoutez ce qu’il vous dit.

3- Déconnectez

Savez-vous combien de temps vous passez sur votre smartphone par jour ? Par semaine ?

Combien de temps pour chaque application ? Pour lire vos mails, surfer sur internet ?

Regardez votre temps d’écran par jour, par semaine.

En prenant conscience que vous êtes accro à votre smartphone ou votre ordinateur, vous avez déjà fait un grand pas. Vous pourrez ainsi prendre du recul sur votre situation.

N’hésitez pas à vous déconnecter de tout réseau au moins 1h avant de vous coucher. Votre qualité de sommeil sera améliorée et vous serez plus efficace le jour suivant.

En journée, choisissez des plages horaires de « digital détox » et appréciez le bien que cela vous fait. Vous serez plus présent.e à ce que vous faites, et pour les autres.

Manger le midi avec votre téléphone ne vous permet pas d’être en pleine conscience sur ce que vous mangez, ni d’être attentif à l’autre.

Reprenez le pouvoir de ce qui vous rend esclave et respirez ! Vous verrez votre efficacité augmenter grandement !

EN CADEAU : téléchargez le test pour évaluer votre gestion du temps.

Si vous souhaitez aller plus loin, allez voir l’accompagnement que je vous propose : équilibre vie pro / vie perso.

 

Les Gaspis énergétiques de votre environnement

Les Gaspis énergétiques de votre environnement

Comment utiliser au mieux votre énergie vitale ?

Je vous propose ici de traiter les gaspis énergétiques de votre environnement.
Tout d’abord, savez-vous ce que j’entends par « environnement » ?
L’environnement est la première marche de l’échelle de DILTS.

Pyramide de DILTS

Robert DILTS, c’est celui qui a démocratisé le coaching et la PNL dans les années 70, en gros je lui dois tout 😉

Il y a 7 environnements :

  • Matériel (maison, bureau, voiture, possessions, argent…)
  • Géographique (ville, campagne, mer, montagne, saisons, plein air…)
  • Physique (corps, santé, inné)
  • Relationnel (couple, famille, amis, connaissances)
  • Professionnel (collègues, internet, clients, partenaires)
  • Culturel (idées, concepts, information)
  • Spirituel (relation au temps, inspiration, foi, mentors…)

Votre environnement conditionne vos comportements

Un environnement inadapté va provoquer des comportements de protection. Et pour se protéger les « boucliers » sont variés : retrait, résistance, frustration, colère, morosité, dépression…

L’environnement n’est pas seulement physique mais aussi relationnel et culturel

Chaque personne, chaque chose, chaque idée est un aspect de votre environnement.
Ne sous-estimez pas les effets négatifs d’un environnement inadapté.
Par exemple : quand vous fréquentez des personnes toxiques, votre comportement s’en trouve altéré.
Un environnement adapté fournit du soutien, du bien-être, de l’inspiration, de la motivation, de l’information de qualité et une structure nécessaire à l’atteinte des objectifs.

Mais revenons à vos gaspis. Vous êtes prêt.e à traiter vos gaspis ?

Ce processus :

  • prend de 1 à 3 mois, mais peut aller jusqu’à un an.
  • vous permet d’aller mieux et plus loin.
  • provoque des changements de comportements, capacités, croyances…
  • transforme votre vision du monde et de vous-même.
  • peut être fait seule ou avec l’aide d’un coach.

C’est le moment de sortir votre carnet, bujo…

Question à vous poser à vous-même avant de commencer :

« est-ce que mon environnement est un partenaire ou un boulet ? »

👉🏼 Quel sont les gaspis en énergie que vous voulez traiter ?

Faites une liste de 50 choses (allez-y lâchez-vous !!) qui dans votre environnement détournent votre énergie.
Écrire est une première étape. Cela vous permet ensuite de constater le chemin parcouru.
Servez-vous de la liste des 7 environnements décrits plus haut.
Si 50 gaspis vous paraissent énorme, commencez par analyser 10 gaspis.

👉🏼 Le bénéfice à le faire

Trouvez l’intention positive pour changer ce gaspi : « Quels bénéfices va m’apporter le fait de changer cela ? »

👉🏼 Le coût si vous ne le faites pas

Demandez-vous : « Quels seraient les coûts si je ne changeais rien ? dans un an, cinq, dix, vingt ans ? »
Ne vous arrêtez pas aux coûts évidents (120 €…) mais découvrez les coûts indirects (énergie, temps, écologie, émotions, relations, etc.) qui sont souvent les plus lourds.

👉🏼 Choix : vous agissez ou pas ?

Vous avez tous les éléments en main pour choisir. « Est-ce que je choisis de conserver ce fonctionnement ou est-ce que je fais le choix de sortir de ce système ? »

👉🏼 L’objectif que vous vous donnez et pour quand :

Pour chaque gaspi, mettez en place un objectif avec un délai de réalisation !
C’est bon, vous avez votre liste de gaspis et ce que vous voulez en faire.

👉🏼 Quels sont vos 3 points à régler en priorité ?

  1. __________________________________________________________________
  1. __________________________________________________________________
  1. __________________________________________________________________

Ce sont des mises en action concrètes que vous allez pouvoir mettre en place cette année ! 💫
N’hésitez pas à m’envoyer un message si vous avez des questions ou que vous souhaitez aller plus loin dans cette réflexion.

La zone de confort

La zone de confort

Un équilibre entre performance et anxiété

Petit topo sur l’origine de la zone de confort

Dès 1908, les psychologues Robert M. Yerkes et John D. Dodson théorisent la notion de « comfort zone » ou « zone de confort ». Selon les spécialistes, « l’anxiété améliore les performances jusqu’à un certain seuil estimé optimal. Au-delà, cet effet se détériore à mesure que des niveaux plus élevés d’anxiété sont atteints. »
On parle alors de « zone de danger ».
La zone de confort est donc une zone où l’anxiété reste bénéfique et améliore les performances.
Dans les années 90, l’auteure américaine Judith M. Bardwick définit le terme comme « l’état comportemental d’une personne qui choisit de vivre dans une position neutre d’anxiété. » C’est une zone sans stress ni angoisse.
Le terme scientifique de zone de confort se transpose ainsi dans le domaine du développement personnel.

Gestion de la performance

Sortir de sa zone de confort cause de l’anxiété et entraine une réaction de stress.
Lorsque vous vous aventurez en territoires inconnus, vous ne connaissez pas à l’avance les résultats de vos actions, et vous éprouvez pour cela de la peur : peur du changement, de l’échec ou même du succès.

Ces peurs se traduisent par des symptômes que vous avez peut-être déjà ressenti comme la nervosité, l’accélération du rythme cardiaque, le fait de se sentir mal à l’aise…

Le fait de ne plus jamais s’aventurer hors de votre zone de confort réduit certes les risques d’échec et de symptômes néfastes, mais limiterait sérieusement votre développement personnel et professionnel en plus d’accroître votre sentiment de peur pour l’avenir.
Elle réduit également vos risques de succès selon le chercheur White qui a montré que la performance pouvait être améliorée par une certaine quantité de stress.

Pour résumer

La zone de confort est un état psychologique dans lequel vous vous sentez à l’aise.
Dans cette zone, vous pouvez garder le contrôle sans trop de stress et ni d’anxiété.
Vous être rapide et performant, sans effort.
Si la zone de confort permet de tenir à l’écart le stress et la peur, elle ne vous permet cependant pas de vivre pleinement votre vie.
Il est important de trouver votre propre rythme pour cheminer vers le changement.

Si vous y trouvez plus d’avantages que d’inconvénients à bouger des choses dans votre vie professionnelle, et que vous le voulez, c’est peut-être le moment !

Décryptage

Les compétences de demain

Les compétences de demain

Soft skills ou compétences douces

Partons tout d’abord de la définition du terme Compétence :
c’est la qualification professionnelle acquise au cours des différentes expériences professionnelles.
Elle se définit comme un ensemble de :

  • savoirs, connaissances : études formations
  • savoir-être, atouts relationnels : qualités personnelles, capacités relationnelles et comportementales
  • savoir-faire, comportements en situation d’exécution : gestes professionnels, réalisation de tâches
  • aptitudes physiques mobilisés pour agir de manière adaptée

Aujourd’hui, les « softs skills », ou compétences comportementales, prennent une part de plus en plus importante dans les recrutements.

Ces savoir-être désignent à la fois l’intelligence relationnelle, les capacités de communication, le caractère, les aptitudes interpersonnelles.

Ce sont des compétences « humaines », par opposition aux « hard skills » qui sont des compétences plus techniques.

Voici les softs skills les plus recherchés par les entreprises en 2021 :

Source : Rapport « Future of Work », le World Economic Forum

L’autonomie, la capacité d’adaptation, la résolution de problèmes complexes, l’esprit critique, la créativité, le management, l’esprit d’équipe, l’intelligence émotionnelle, le jugement et la prise de décision, le sens du service, la négociation, la flexibilité.

Vous avez, j’en suis sûre, beaucoup de ces compétences, et vous n’en avez peut-être pas conscience.

 

Décryptage

Cliquez sur l’image pour l’agrandir